LE SYNDICALISME, A SES ORIGINES… (3ème section)

Les délégations ouvrières et les congrès ouvriers de 1876 à la création de la Fédération nationale des syndicats:

=> Les délégations ouvrières:

Léon de SEILHAC, dans son ouvrage Les Congrès ouvriers de 1876 à 1897, pages 5 à 14, résume l'histoire des délégations ouvrières, avant et après la Commune. (A.M.)

Origine du document: http://gallica.bnf.fr

=> Le Congrès ouvrier de Paris - 1876:

Léon de SEILHAC, dans son ouvrage Les Congrès ouvriers de 1876 à 1897, pages 15 à 20, résume ce premier Congrès ouvrier, où l'indépendance de classe n'était pas toujours d'actualité. (A.M.)

Origine du document: http://gallica.bnf.fr

=> Le Congrès ouvrier de Lyon - 1878:

Léon de SEILHAC, dans son ouvrage Les Congrès ouvriers de 1876 à 1897, pages 21 à 29, résume ce deuxième Congrès ouvrier, où l'indépendance de classe n'était pas toujours d'actualité. (A.M.)

Origine du document: http://gallica.bnf.fr

=> Le Congrès ouvrier de Marseille - 1879:

Léon de SEILHAC, dans son ouvrage Les Congrès ouvriers de 1876 à 1897, pages 29 à 50, résume ce troisième Congrès ouvrier, qui se conclu par la création d'un parti politique; l'élément syndicaliste se trouva mêlé au politique. (A.M.)

Origine du document: http://gallica.bnf.fr

=> Le Congrès ouvrier régional de Paris - 1880:

Léon de SEILHAC, dans son ouvrage Les Congrès ouvriers de 1876 à 1897, pages 50 à 61, résume ce Congrès ouvrier régional, où, dit-il, l'élément anarchiste se trouva présent. Un programme politique et économique y fut adopté. (A.M.)

Origine du document: http://gallica.bnf.fr

=> Les Congrès ouvriers du Havre - 1880:

Léon de SEILHAC, dans son ouvrage Les Congrès ouvriers de 1876 à 1897, pages 61 à 77, résume ces Congrès où, les éléments partisans de la défense de la proprété privé, et ceux partisans du collectivisme,se séparèrent définitivement. (A.M.)

Origine du document: http://gallica.bnf.fr

=> Le Congrès ouvrier de Reims - 1881:

Léon de SEILHAC, dans son ouvrage Les Congrès ouvriers de 1876 à 1897, pages 78 à 94, résume ce Congrès où, les «broussistes» prirent le pas sur les «guesdistes». (A.M.)

Origine du document: http://gallica.bnf.fr

=> Le Congrès ouvrier de St. Étienne - 1882:

Léon de SEILHAC, dans son ouvrage Les Congrès ouvriers de 1876 à 1897, pages 94 à 112, résume ce Congrès où, les «broussistes» excluèrent les «guesdistes». (A.M.)

Origine du document: http://gallica.bnf.fr

=> Le Congrès «guesdiste» de Roanne - 1882:

Léon de SEILHAC, dans son ouvrage Les Congrès ouvriers de 1876 à 1897, pages 112 à 122, résume ce Congrès où, les «guesdistes» créèrent le «Parti Ouvrier». (A.M.)

Origine du document: http://gallica.bnf.fr

=> Le Congrès «possibiliste» de Paris - 1883:

Léon de SEILHAC, dans son ouvrage Les Congrès ouvriers de 1876 à 1897, pages 122 à 125, résume ce Congrès où, le titre de Parti ouvrier socialiste révolutionnaire français fut transformé en Fédération des travailleurs socialistes de France. (A.M.)

Origine du document: http://gallica.bnf.fr

=> «La classe ouvrière et le syndicalisme en France» - Chapitre cinquième.

Ouvrage de Georges VIDALENC, intitulé: «1884-1914, l’âge héroïque du syndicalisme». Chapitre complet,

=> Le Congrès «possibiliste» de Rennes - 1884:

Léon de SEILHAC, dans son ouvrage Les Congrès ouvriers de 1876 à 1897, pages 125 à 127, résume ce Congrès où la question électorale revint à l'ordre du jour. (A.M.)

Origine du document: http://gallica.bnf.fr

=> Le Congrès «possibiliste» du Centre - 1885:

Léon de SEILHAC, dans son ouvrage Les Congrès ouvriers de 1876 à 1897, pages 128 à 134, résume ce Congrès régional, cette année-là aucun Congrès national n'était programmé. (A.M.)

Origine du document: http://gallica.bnf.fr

=> Le Congrès «possibiliste» du Centre - 1886:

Léon de SEILHAC, dans son ouvrage Les Congrès ouvriers de 1876 à 1897, pages 134 et 135, résume ce Congrès régional, cette année-là aucun Congrès national non plus n'était programmé. (A.M.)

Origine du document: http://gallica.bnf.fr

=> La Conférence ouvrière internationale de 1886 – Paris –

Léon de SEILHAC, dans son ouvrage Les Congrès ouvriers de 1876 à 1897, pages 182 à 192, considère que les congrès ouvriers qui se sont tenus précédement ont glissé progressivement du domaine corporatif au domaine politique. Il attribue la décision de création d'une organisation purement corporative aux chambres syndicales réunies à la conférence convoquée en marge de l'Exposition universelle de 1886. (A.M.)

Origine du document: http://gallica.bnf.fr

Retour à l'accueil...